Biodiversité, tri des déchets, transition énergétique, mobilités… La transition écologique s’exprime dans la politique de la communauté d’agglomération du Grand Cahors à travers diverses thématiques. L’alimentation n’est pas oubliée. L’objectif : inciter à consommer des produits locaux, de saison et de qualité, voire les cultiver soi-même, dans une perspective d’autonomie alimentaire. Des parcelles de culture dans la ville reconnectent à la terre une population dont les modes de vie et de consommation l’en ont éloignée. Elles participent en même temps à une dynamique plus large : renforcer la place de la nature dans le décor urbain.
« Aujourd’hui, nous achetons des légumes aux modes de culture indéfinis, qui viennent d’Espagne ou du bout du monde et ont mûri dans des camions, c’est une aberration tant écologique qu’alimentaire alors que nos sols sont adaptés au maraîchage !” Ces propos d’Isabelle Lagarrigue, maraîchère à Tour-de-Faure, illustrent bien un enjeu qui mobilise le Grand Cahors : manger sain et local. Un enjeu alimentaire, environnemental et économique à la fois, qui suggère une ressource issue d’une agriculture durable, structurée et de qualité.
Pour y répondre, un Projet alimentaire de territoire (PAT) a été formalisé par la communauté d’agglomération après… Découvrez l’article complet en commandant le magazine ici : https://direlot.fr/boutique/direlot/direlot-268-i-novembre-decembre-2022/
Texte Ch Hoden – DireLOT