En visitant notre site, vous acceptez notre politique de confidentialité concernant les cookies et les statistiques de visite.

DireLot
  • Accueil
  • DireLot Magazine
  • ITINÉRANCES Magazine
  • Coups de coeur
    • À voir & à vivre
    • À lire
    • À savourer
  • Boutique
  • Dire Territoires
  • Contact
DireLot

Le magazine du territoire Lotois et des amoureux du Lot

  • Accueil
  • DireLot Magazine
  • ITINÉRANCES Magazine
  • Coups de coeur
    • À voir & à vivre
    • À lire
    • À savourer
  • Boutique
  • Dire Territoires
  • Contact
0
À lire

LOT : Quel avenir pour la noix ?

par Vincent Besserve 12 août 2022

La noix est un fruit emblématique du Lot dont l’histoire est associée à celle des hommes, des paysages et aussi des us et coutumes. Au-delà, c’est une réalité économique chez des agriculteurs qui ne manquent pas de réfléchir à son avenir. Derrière la noix de demain, certes il y a les perspectives, mais aussi un groupe de nuciculteurs qui cherche à progresser dans un contexte mondialisé où il faut défendre son identité.

La Chine, l’Iran, les Etats-Unis d’Amérique sont les plus gros producteurs de noix au monde ; la France arrivant au 9ème rang avec près de 40 000 tonnes. La chambre d’agriculture du Lot résume la situation départementale en quelques chiffres : la noix, c’est 2 600 ha de noyers répartis sur 650 exploitations, soit 15% des producteurs en France, 12 % de la superficie de la noyeraie du pays et 90 % de de celle de Midi-Pyrénées. Avant l’hiver 1956, on trouvait des noyers dans presque toutes les exploitations agricoles lotoises, la noix étant jadis présente aussi bien dans la cuisine, dans l’éclairage et la pharmacopée et bien sûr le bois du mobilier. L’hiver 1956 a provoqué un sursaut pour renouveler le verger détruit par le gel. La Station expérimentale de Creysse est apparue en 1987, grâce aux esprits visionnaires d’Edmond Massaud et de Charles Ceyrac, respectivement président du Comité du noyer du Lot et de la Corrèze. L’AOC en 2002 devenue AOP « Noix du Périgord » en 2004 a consacré cette dynamique avec une production qui se concentre aujourd’hui dans la vallée de la Dordogne. 

Produire avec moins d’azote.

Face aux évolutions des techniques comme du marché, des producteurs du Comité des fruits à coque du Lot, anciennement Comité du Noyer, ont décidé d’aller voir comment la noix était produite ailleurs. Après la Californie en 2013, l’Espagne en 2014, l’Australie en 2015, l’Italie en 2016, c’est vers le Chili qu’ils ont dirigé leurs pas en 2017 pour des rencontres décisives. « Nous étions toute une équipe du Comité du Noyer du Lot à participer à ces voyages, raconte Georges Delvert, président du groupe « La noix de demain » et aussi du Comité des fruits à coque aujourd’hui. Au Chili, nous avons découvert un autre…, découvre l’article un-intégral en commandant le magazine ici : https://direlot.fr/boutique/direlot/direlot-259-mai-juin-2021/

0
FacebookTwitterPinterestEmail
Précédent article
SOUILLAC : Joséphine Baker, un destin extraordinaire
Prochain article
Du cabécou du Quercy au Rocamadour AOP… Chèvres, hommes, femmes… au fil de l’Histoire

VOUS AIMEREZ AUSSI

FOIRE DE BETAILLE : 10 000 participants attendus...

LOT : Lancement de la quinzaine du compostage

Défi Foyers à Alimentation Positive : visite de...

PREMIERES PAGES DANS LE LOT

Pour la nouvelle saison de pêche, un hydrogarde...

En camionnette ou en caravane, prendre la route,...

Lot of Saveurs et les Bonnes Tables du...

Deux nouveaux présidents à la tête de la...

initiative : Archéologie – un partenariat renforcé entre...

Les Archives départementales du Lot sont aussi à...

Nos derniers magazines

  • DireLot 270 I Mars Avril 2023 6,80€
  • DireLot 269 I Janvier Février 2023 6,80€

Inscrivez-vous à notre liste

© DireLot 2019 | Mentions légales & Politique de confidentialité | Conditions générales de vente | Paiement sécurisé et livraison


Retour en haut