Dans cette modeste communauté humaine, sur le rebord est du Quercy Blanc, sont nées, au XVIIème siècle, les boiseries superbes et érudites de l’église St Michel de Villesèque et au XIXème ont été élevées ou rénovées, ornées, des dizaines de belles maisons rurales. Leur architecture, en parfaite harmonie avec le paysage rappelent celle des fermes de Toscane.
C’est que la commune de Villesèque, née en 1792 de la jonction des anciennes paroisses St Michel de Villesèque et Ste Marie-Madeleine de Trébaïx, appartient bien par le calcaire lumineux de ses pierres, au Quercy Blanc. Mais des routes millénaires l’unissent à Cahors. La proximité de ce centre régional, 5 lieues gauloises qui lui avaient valu son premier nom de « pemdas » (environ 11 km) a toujours permis aux Villesèquois de profiter de la clientèle des cadurciens pour vendre leur vin, leurs truffes, leur laine et de nouer, avec ces habitants des contrats de métayage, d’élevage etc….
Ces citadins marchands, juristes, médecins y ont acheté des terres et implanté leurs maisons des champs. Ils s’assuraient ainsi bon air, produits de base, repli possible en cas d’épidémie. Ils y investissaient et l’allure de leur demeure renforçait le prestige de leur famille. Ceci dès le Moyen-Âge… découvrez notre article dans DIRELOT : https://direlot.fr/boutique/direlot/direlot-275/