La plupart du temps, on ne connait de la flore sauvage que peu de plantes qui sont consommées par traditions locales. C’est à un professeur de cuisine à la retraite que nous nous sommes adressés pour creuser la question. Originaire du Tarn et Garonne avec un nom Corse, il a été professeur de cuisine pendant 25 années au Lycée hôtelier de Souillac, non loin de son domicile actuel.
Richard, qui ne souhaite pas dire son nom sinon en faisant référence à son grand-père Basile, a un caractère bien trempé et ne craint pas d’exprimer ce qu’il pense ni de prendre le temps de préparer un dessert avec quelques fleurs d’acacia et de sureau noir.
Le rendez-vous avait été fixé pour le milieu du mois mais compte tenu que les bords de route conduisant à Cahors déployaient la floraison de cet arbre peu exigeant, il fut avancé d’une semaine. Arrivé dans sa maison, la discussion a roulé sans plus attendre sur le pays de Cocagne que représente pour lui le Lot avec pour références aux végétaux et champignons cultivés, la vigne, la vieille prune, la truffe noire, et le safran.
Ail des ours et respounchou« Mais si ces végétaux sont des icones de la gastronomie du Quercy, il ne faut pas oublier d’autres plantes qui sont loin de laisser indifférents les amateurs de produits simples et délicieux, a tenu à …découvrez notre article intégral dans le magazine à commander ici en version papier ou digitale : https://direlot.fr/boutique/direlot/direlot-272-juillet-aout-2023/