L’hiver 2008, Jean-Pierre Otte avait recueilli chez lui à Larnagol un étudiant russe originaire de Yalta en Crimée, du nom de Sergueï. Celui-ci se prit d’amitié pour les premiers livres de l’écrivain. Il les lisait, les relisait en épinglant çà et là des phrases et des passages qu’il transcrivait dans un cahier auquel il attribua le titre de « La bonne vie ». C’est ce cahier d’une quarantaine de pages qui est publié aujourd’hui avec, en couverture, une peinture à la cire de Jean-Pierre Otte.
Extrait : « La bonne vie, c’est le présent merveilleux de celui qui en a fini avec l’espérance et toutes les nostalgies. En cours de chemin, ne pas cesser d’être disponible aux invitations que la vie nous fait. En amour, nous sommes comme deux sphères qui ne se touchent qu’en un point, le point par lequel elles jouissent l’une de l’autre. »
Éditions : Cactus inébranlable
Tarif : 10 euros
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