Dans une France fragilisée économiquement par la pandémie de 2020, les créateurs et producteurs du Made in France sont à la recherche de solutions pour renforcer le lien social et sociétal du commerce local. En parallèle, du côté des consommateurs, il y a une vraie appétence pour le Made in France, à la fois riche de sens mais aussi plus écologique et plus éthique. Le Gouvernement fait d’ailleurs le pari de relancer l’économie du pays en s’appuyant sur cette forte demande pour le 100% français. Dans ce contexte, et malgré les événements actuels, Constance Couture, Co Créatrice de la Marketplace 100% française Mamie Paulette, avec ses ambassadeurs ont passé 6 mois à sillonner le pays de fond en comble pour ramener dans leur besace un patchwork d’idées Made in France. Des bons plans à transmettre sans modération à sa famille, à ses amis et à tous ses collègues ! En plus de proposer des produits exclusivement français et en cette période difficile pour l’ensemble des libraires de France Mamie Paulette met à disposition son site internet GRATUITEMENT pour toutes les librairies indépendantes. Les frais de ports offerts par le gouvernement permettront ainsi de faire vivre dignement nos libraires.
Mamie Paulette soutient la Culture et ses libraires : https://mamiepaulette.fr/librairie.html
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Constance Vidor : Couturière, créatrice textile
C’est une minuscule boutique, rue Duguesclin. On y entre pour un ourlet, une retouche, une fermeture. Ou tout simplement pour bavarder le temps d’un café. « Tout le monde me connaît à Martel, s’amuse Constance Vidor, la locataire des lieux. Ici ça vit très fort… l’été. Mais moi je suis ouverte toute l’année. Quand tout est fermé, on peut quand même aller chez Constance ! ». Et toujours avec l’assurance d’être accueilli avec le sourire. Tout n’a pourtant pas été rose dans la vie de Constance Vidor. En 2013, sa sœur tombe malade, puis son père. Elle quitte Lyon et son travail pour s’occuper de ses proches, à Martel. Leur décès sera suivi par celui de son jeune frère, puis de sa mère. « En quelques années j’ai perdu toute ma famille », raconte-t-elle. Sa situation financière se dégrade. « Puis ce petit local s’est libéré. Je rêvais de relancer un atelier de couture. Mon fils m’a avancé les loyers. J’ai lancé une bouteille à la mer en écrivant à la Fondation deuxième chance ». Article N. Mahey – DireLOT
Magazine intégral à décuvrir ici :
https://direlot.fr/boutique/direlot/direlot-254-juillet-aout-2020/
DIRELOT MAG,
AUX COTES DE CELLES ET CEUX QUI FONT
BOUGER LE TERRITOIRE !