Tous les ans, le département attire de nouveaux habitants. Parmi eux, se trouve un certain nombre de Nordistes qui ont reconnu dans le Lot, leur territoire de prédilection.
Le passant attentif l’a peut-être remarqué. Des plaques de voiture immatriculées « 59 » ne sont pas rares sur les routes ou dans les bourgs lotois. Rien d’étonnant pour Charlotte Collombani, gérante du « Le Ch’ti vagabond », au centre de Cahors.
« Le magasin a ouvert en juin 2022, je ne pensais pas que cela fonctionnerait aussi vite. Il y avait une vraie demande. Les clients sont des personnes du Nord, de Belgique ou encore de Hollande qui viennent acheter des produits de chez eux », observe la jeune femme. Selon des données chiffrées transmises par le Département -du 46 cette fois- le Nord serait même le premier territoire d’origine des néo-lotois en provenance des terres situées au-delà de la Loire. Pourquoi les Nordistes semblent avoir un faible pour le 46 ? Dire Lot est allé à la rencontre de plusieurs lotois ayant quitté les corons.
Olivier Duquesne, l’entremetteur
Certains le qualifient encore de Nordiste. Pourtant, Olivier Duquesne n’a vécu que 17 ans à Leers, une ville à côté de Roubaix. Il a rapidement quitté le Nord pour reprendre le village de vacances du Mas de Saboth à Vers. Avant que ses parents ne décident de racheter le domaine, le plus jeune de la fratrie de cinq enfants n’avait jamais songé à quitter son département natal. Mais après avoir passé un… découvrez notre dossier complet dans notre magazine (disponible en version PDF ou papier) : https://direlot.fr/boutique/direlot/direlot-275/