S’il est aujourd’hui question de l’impact du dérèglement climatique sur la nature, une autre problématique environnementale également liée à l’activité humaine s’impose. Entre urbanisme, aménagements, activités, loisirs et déplacements, les risques liés à la cohabitation sur un même territoire de l’Homme et des espèces sauvages sont nombreux. Une mise en danger de la nature, cette fois directe et quotidienne, d’autant plus forte dans un milieu rural comme le Lot. D’où la mobilisation d’associations et citoyens pour protéger, accompagner et sauvegarder la faune sauvage locale.
Le problème, ce n’est pas l’irruption soudaine d’animaux sur les routes. C’est le fait que ces routes ont été tracées au beau milieu des espaces naturels. Subtil recadrage permettant de souligner l’importance du « point de vue » dans la perception d’une situation.
Question de regard. Il en résulte une évidence : si l’activité humaine est un facteur de risques pour la faune sauvage, elle doit pouvoir faire aussi partie de la solution. Cette prise de conscience incite un nombre croissant (et souvent silencieux) de lotois à prendre le tablier de citoyens éco-responsables. Dossier à lire dans le magazine DIRELOT n° 280, disponinble en version papier ou numérique : https://direlot.fr/boutique/direlot/direlot-280-novembre-decembre-2024/