En aussi peu de temps que d’espace à parcourir, on prend de la hauteur : 250 mètres suffisent au Mont Saint-Cyr pour narguer à 180 degrés la préfecture coincée en contrebas dans le U de la rivière éponyme de son département. Autre monde pour une autre vie.
Édiles comme résidents lambda n’apprécient guère l’étiquette dépréciative de « villages-dortoirs » même s’ils reconnaissent l’objective attractivité du bassin d’emplois majoritairement administratifs de la ville de Marot et Gambetta…
Cependant, c’est plus par choix que par obligation qu’on saute, à Saint-Georges, le pont Louis-Philippe… Le coût du foncier n’y est, certes pas étranger, mais si l’on creuse un peu plus l’analyse, le double statut de l’habitat à la fois résidence principale et secondaire est socialement valorisant. On travaille à la ville tout en vivant à la campagne. La connotation écologique en ces temps dangereux de pandémie virale est plutôt rassurante, confortée, de plus, par l’opportunité de « télé-travailler ». Il est, en effet, clairement établi que le virus circule plus aisément en ville que dans nos campagnes, question de densité de population. L’ère des remises en question radicales est venue. Tout s’accélère donc…La roue tourne…
L’appel du CausseRien d’un cri racoleur ni d’un coup de foudre. Le Causse ne promet rien au promeneur habitué des escapades solitaires en surplomb de la cité… Il sait l’ancrage confortable au bord de la rivière, belle, blasée d’être enjambée par le plus élégant pont médiéval de notre vieille Europe. Non, celui qui a demeure, tient commerce ou administre en « ville Valentré » ne saurait déchoir, même en rêve, en s’imaginant vivre ailleurs et se… Poursuivez la lecture de cet article en commandant dans notre magazine ici : https://direlot.fr/boutique/direlot/direlot-260-juillet-aout-2021/