Description
Édito du numéro 257
Parce qu’il faut aimer la vie
Un village un temps endormi, où tout le monde s’investit, au point de susciter l’envie. Un arrière-pays que le train oublie, mais pour lequel on milite, jusqu’au bout de la nuit. Une certaine Aurélie qui rebondit sur son tapis fleuri. Une artiste peintre et un vigneron croqueurs de vie. D’insoupçonnables sérigraphies au cœur des causses du Quercy. Une polyculture inspirée et en biodynamie. Une église qui a subi mais qui a retrouvé des amis.
Et parce qu’il faut aimer la vie et l’aimer même si…, des bénévoles unis et sacrément investis dans ce difficile contexte où l’on a tant subi.
Bonne année & bonnes lectures !
Vincent Besserve